Brees Marc - Adam & Eve D-day moins 1 jour - Certificats d'authenticité COA pour les artistes, les galeristes et les professionnels de l'art

Adam & Eve D-day moins 1 jour

Artcertificate | Editez vous-même vos certificats d'authenticité

NUMéRO DE CERTIFICAT : 20221205111244
ENREGISTREMENT EFFECTUé LE : 05/12/2022

ADAM & EVE D-DAY MOINS 1 JOUR
Peinture à l'huile, toile tendue sur châssis, état neuf. Le sujet représente un socle en bois sur lequel repose deux entonoir symbolisant Adam & Eve. Sur l'arrière plan constitué de lambris verticaux figurent sur la gauche de l'ouvre une corde représentant le serpent ainsi qu'une pomme rouge.

Artiste : Marc Brees
Année : 2022
Format : 50 x 70 cm
Support : Toile tendue sur châssis
Technique : Huile

ETAPE 1
CLIQUEZ SUR LE POLYGONE DE L'OEUVRE.

LE POLYGONE EST ABSENT

CONTROLE PAR POLYGONES

Cette vérification a pour objectif de contrôler la validité des scellés collés sur l'oeuvre et le certificat d'authenticité pour être certain que vous êtes le propriétaire de l'oeuvre. Une fois identifié, le propriétaire pourra avoir accès à toutes les informations enregistrées lors de la création du certificat et les télécharger en PDF pour les archiver au format papier et électronique.

Comment faire ?
1) Munissez-vous du certificat d'authenticité et de l'oeuvre afin de voir clairement les polygones qui y sont présent.
2) Appuyez correctement sur les polygones qui vous sont proposés en vous référant à ceux qui sont présent sur le certificat et l'oeuvre. Ce contrôle se fait 'en aveugle' afin de ne pas divulger les polygones originaux ARTcertificate.
Attention, lors d'une étape de contrôle, vous ne trouverez pas de polygones valide, vous devrez alors appuyer sur le bouton 'Polygone absent'.

Si vous êtes en possession de l'oeuvre et du certificat d'authenticité, mais que vous n'arrivez pas à passer le contrôle, veuillez SVP contacter Artcertificate qui effectuera un contrôle manuel pour vous donner accès au dossier complet en PDF.

Marc Brees

Marc Brees est né à Bruxelles durant un mois d’octobre de 1946. Son parcours passera par la caricature politique, les décors de théâtre, le monde captivant du papier peint et finalement celui de la publicité et de ses nombreuses disciplines. Il y occupera à chaque fois les plus hautes responsabilités. Le besoin de dessiner et de peindre semblent toujours avoir été présents. C’est en 1975 qu’il a exposé pour la première fois sous la pression amicale d’un galeriste bruxellois : Roger Bar. (Galeries L’Escalier et La Grande Jatte) D’emblée le succès fut au rendez-vous même si ces premiers balbutiements, d’autodidacte, manquaient d’assurance. La matière était parfois terne mais la créativité naissante avait su toucher la critique et le public. Les expositions personnelles et la participation à des salons d’ensemble s’enchainèrent avec un succès discret mais grandissant. Le coup de pinceau s’affirma. Les compositions tenantes d’un certains surréalisme et de sentiers voisins abordent les thèmes de la vie, de l’amour, de la nature et de la mort. Ses univers sont pleins d’incertitudes mais l’espoir persiste. Les titres sont souvent symboliques, en forme de charades, d’énigmes. S’ils sont parfois mordants ce n’est que pour dénoncer quelques impostures humaines. La plupart des tableaux sont accompagnés d’un texte complétant la démarche créative initiale et en permettant, le plus souvent, le "décryptage ». Durant quelques décennies, bien qu’il continua à peindre épisodiquement, les remous de la vie l’ont tenu éloigné des cimaises. L’addiction était trop forte. Il y revient et reste toujours aussi incisif en soulignant, çà et là, nos passions, nos rêves, nos égarements passager ou profonds. . Toute ressemblance avec vos rêves les plus inattendus ou vos convictions révoltées ne sont ni fortuites ni involontaires. Cela doit signifier qu’il vous reste un rien d’humanité, de discernement, voire ce petit je ne sais quoi de lucidité qui crée la part de rêve propre aux anges, ceux qui veillent sur nos émotions et nos sentiments trop souvent refoulés. Le souci de ne pas déplaire, le souci de conformité n’est pas, pour moi, la norme. L’ironie, la caricature s’imposent pour ne pas sombrer dans le désespoir d’une humanité en son déclin. Je vous invite au rêve éveillé, selon l’expression consacrée.

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